COURRIER : HUMOUR - CONTES

Pinocchio n'a pas eu
de chance :
il a eu la gueule de bois toute sa vie !
Michèle Bernier,
humoriste française !!

Théorème de la Loi de Murphy :
Tout corps plongé dans une baignoire déclenche systématiquement la sonnerie du téléphone .
Loi de Tata Jacqueline :
C'est celui qui ronfle qui s'endort toujours le premier !
Principe de Ruby :
La probabilité de rencontrer une personne de ta connaissance augmente quand tu es avec quelqu'un avec qui tu ne veux pas être vu !
Constante de Murphy :
Les objets sont endommagés en proportion de leur valeur.
Loi de Gumperson :
La probabilité qu'un évènement arrive est inversément proportionnelle à sa désirabilité.
Loi de Boob :
Quel que soit l'objet, il sera trouvé dans le dernier endroit dans lequel on l'aura cherché .
Loi de la Gravité Sélective :
En tout point de la surface du globe, toute biscotte combera côté beurre .
Observation de Zenone :
L'autre file va plus vite !!!
Variation de O'Brien sur l'Observation de Zenone :
Si tu changes de file, celle que tu viens de quitter deviendra alors la plus rapide !
Règle de Flugg :
Plus est urgent le motif pour lequel tu es dans la file d'attente, plus sera lent l'employé au guichet !
Loi de Roger :
C'est seulement après que l'hôtesse a servi le café que l'avion traverse une zone de turbulences .
Explication de Tonton Bernard :
Le café est la cause principale de turbulences en altitude !
Cinquième Loi de Young :
Se tromper est humain, mais pour vraiment foutre le bordel, il faut y ajouter un ordinateur !
Loi de Moses :
C'est quand on ne regarde pas que le goal est marqué .
Postulat du Parking :
C'est après avoir garé ta voiture à deux kilomètres de distance que quatre places se libèrent simultanément juste en bas de chez toi ...
***
POESIE
AUTOMNE-HIVER
Je vais te
chercher...
Jusqu'à
te trouver...
Alors je
t'emmènerai...Au
lit...
Et lentement,
je te ferai trembler...
Transpirer
avec profusion...
Je te ferai
gémir, et même rugir...
Tes tempes
vont battre...
Ta tête
va exploser...
Quand j'en
aurai terminé...
Je
Partirai...Je te
dirai...A la prochaine
!
Avec tout mon
amour...
Signé :
La Grippe !
Le site
officiel de Philippe GELUCK
http://www.geluck.com/
"La différence
entre l'amour et l'argent, c'est que si on
partage son argent, il
diminue, tandis que si on partage son
amour, il
augmente."
Philippe
Geluck

http://leocat.free.fr/index.php
DES PAGES
D'HUMOUR
dans le site de mon amie MAYA
http://www.chezmaya.com/humour.htm
HUMOUR
Chez mes amis du Québec
http://www.humourqc.com/blagues
Invitation de
la Folie
(Une page
complète sur le sujet en Philosophie)
http://perso.wanadoo.fr/arciel88/bibphilosophie/arciel-foliepassionreve.htm
L'ARCHE DE
NOE
Dieu s'adresse
à Noé:
-
Dans six mois, je
ferai pleuvoir jusqu'à ce que le monde soit
inondé et
que tout ce
qu'il y a de mauvais soit détruit. Mais je veux
sauver quelques
bonnes
personnes et deux spécimens de chaque espèce
vivant sur la planète.
Je
t'ordonne donc de construire une arche.
Et dans le
«flash» d'un éclair, il lui remit les
spécifications pour l'arche.
-
OK... Dit
Noé, tremblant de peur et palpant les
plans.
Je suis
votre homme.
*
Six mois plus
tard, une immense tempête de pluie déferle sur
la Terre.
*
Dieu voit
Noé, assis dans sa cour, pleurant à chaudes
larmes, et il n'y
avait pas
d'arche. Un éclair fulgurant s'écrasa aux
pieds de Noé.
*
-
Noé! s'exclama Dieu, Où est Mon
arche?
- Dieu,
s'il vous plaît, pardonnez-moi, supplia
Noé.
J'ai fait
de mon mieux, mais il y a eu quelques gros
problèmes.
Premièrement, j'ai dû obtenir
un permis pour la construction de l'arche,
mais vos
plans ne rencontraient pas leur code...
Alors, pour
refaire vos plans, j'ai dû engager un
ingénieur
avec lequel
j'ai eu un gros argument à savoir si des
gicleurs
devaient
être inclus ou non.
Mes voisins
se sont objectés, clamant que je violais les
règlements
de zonage
en construisant l'arche dans ma cour.
Alors, j'ai
dû demander une dérogation au Comité de
Zonage.
Puis, j'ai
eu des problèmes à obtenir suffisamment de
bois pour l'arche
car il y
avait une interdiction de couper des arbres
pour
protéger les chouettes
mouchetées.
J'ai
essayé de convaincre les environnementalistes et le
Service de la
faune que
j'avais besoin de bois pour sauver les
chouettes,
mais ils ne
voulaient pas me laisser les attraper.
Puis, j'ai
commencé à rassembler les animaux et j'ai
été poursuivi par
un
regroupement pour la défense des droits des animaux
qui s'objectait
à ce
que je ne prenne que deux spécimens de chaque
espèce.
Et juste
comme la poursuite était rejetée, le
Comité d'Environnement m'a
notifié que je ne pouvais terminer
l'arche
sans
compléter un formulaire d'impact
environnemental.
De votre
proposition d'inondation, ils n'ont pas
apprécié de n'avoir
aucune
juridiction sur l'Être Suprême. Puis l'ordre des
Ingénieurs a exigé une
carte de la
zone d'inondation. Je leur ai envoyé un globe
terrestre.
Actuellement, je suis à essayer de
résoudre une plainte du Comité des
Droits de
la Personne à savoir combien de minorités je
suis supposé embaucher.
Le
Département du revenu a saisi tous mes biens
proclamant que je m
apprêtais à quitter le pays et
je viens juste de recevoir un avis de l'Etat
comme quoi
je dois des taxes d'utilisation. Franchement, je ne pense
pas
que je
pourrai terminer l'arche en moins de cinq
ans.
Alors le
ciel s'éclaircit, le soleil commença à
luire...
Et un
arc-en-ciel traversa le ciel.
Noé
leva les yeux et sourit.
-
Vous voulez dire
que vous ne détruirez pas le monde?
-
Non. Les
fonctionnaires s'en occupent.
***
LA
CREATION
Le premier
jour Dieu a créé la vache.
Dieu dit, " tu
dois aller au champ avec le fermier toute la
journée
Et souffrir
sous le soleil,
Avoir des
veaux et donner du lait pour soutenir le fermier.
Je te donne
une durée de vie de 60 ans ".
La vache
répondit : " c'est une sacrée vie dure que tu
veux pour moi pendant 60 ans.
C'est ok pour
20 ans et je te rends les 40 autres "
Et Dieu a
été d'accord.
Le
deuxième jour, Dieu a créé le chien.
Dieu a dit :
" Reste assis
toute la journée sur le seuil de la porte de la
maison
et aboie sur
quiconque entre ou passe devant.
Je te donne
une durée de vie de 20 ans. "
Le chien a dit
: " c'est trop long pour aboyer.
Donne-moi 10
ans et je te rends les 10 autres "
Alors Dieu a
été à nouveau d'accord
(soupirs)
Le
troisième jour Dieu a créé le singe.
Dieu a dit
" Amuse les
gens, fait des tours savants, fait le rire.
Je te donne
une durée de vie de 20 ans ".
Le singe a dit
: " Faire des singeries pendant 20 ans ?
C'est trop
chiant ! Le chien t'a rendu 10 ans non ?
Ben je fais
pareil, ok ? "
Encore une
fois Dieu a été d'accord.
Le
quatrième jour Dieu a créé l'homme.
Dieu a dit :
" Mange, dors,
joue, baise, amuse-toi. Glande un rien (tranquille quoi
!)
Je te donne 20
ans "
L'homme
répondit : " Quoi ? Seulement 20 ans ? Que dalle
!
Ecoute, je
prends mes 20, les 40 que la vache a rendus, les 10 du
chien
Et les 10 du
singe. Ça fait 80, ok ? "
" OK ! "
répondit Dieu. " Marché conclu "
C'est ainsi
que pendant les 20 premières années de notre
vie, nous mangeons,
Dormons,
baisons, nous amusons et ne faisons rien ;
Pendant les 40
années suivantes nous travaillons comme un
forçat
Au soleil pour
entretenir notre famille ;
Pendant les 10
années suivantes nous faisons des singeries pour
distraire nos petits-enfants ;
Et pendant les
10 dernières années nous sommes assis devant
la maison
A aboyer sur
tout le monde !
Extrait d'un
site de poésie ami que Pierrot recommande
fortement:
http://perso.wanadoo.fr/heliopolisbis/poesie.htm
****
Grande
Vérité
Mon chef, est
toujours en train de
travailler
à son bureau avec assiduité et diligence, sans
jamais
perdre son
temps en jasant avec ses collègues. Jamais il
ne
refuse de
passer du temps pour aider les autres et malgré cela,
il
termine ses
projets à temps. Très souvent, il
rallonge
ses heures
pour terminer son travail, parfois même en
sautant
les pauses
café. C'est une personne qui n'a absolument
aucune
vanité
en dépit de ses accomplissements remarquables et de
sa grande
compétence en informatique. C'est le
genre d'employé de qui on
parle avec
grande estime et respect, le genre de personne dont on
ne
peut se
passer. Je crois fermement qu'il est prêt pour
la
promotion
qu'il demande, considérant tout ce qu'il nous
ap-
porte.
L'entreprise en sortira grande gagnante.
*
Pas
mal...non?
Maintenant,
relisez le texte, (à voix basse, avec
précautions, ...)
en ne lisant
qu'une ligne sur deux... !
***
* Les perles de larmes
*
Il y avait un
homme… Mais peut-être était-ce une femme ou un
enfant, qui traversait le désert.
Oui, le
désert, à pied. Et il pleurait, il pleurait,
sans cesse, régulièrement, parfois doucement
et parfois fort mais sans jamais s'arrêter, il
pleurait au rythme de ses pas dans le sable.
Un jour, dans
le grand désert, il croise un oiseau qui lui demande
:
- " Que
fais-tu seul dans le désert ?
- Je marche et
je pleure…" Et une grosse larme tombe de son oeil qu'il
ramasse aussitôt.
- " Pourquoi
es-tu si triste ?
- Je ne suis
pas triste.
- Alors,
pourquoi pleures-tu ?
- Regarde. Mes
larmes deviennent des perles, dit-il en saisissant la larme
lisse et brillante, j'en ai des milliers dans les poches.
Veux-tu les voir ?
-Oui, oui !
"
L'homme plonge
la main dans sa poche gonflée et en ressort une
poignée scintillante.
- Comme elles
sont belles !
- Choisis-en
une si tu veux.
- C' est pour
cela que tu ne t'arrêtes jamais de pleurer, pour avoir
de plus en plus de perles ?
- Exactement.
Allez, choisis !
- Je veux bien
: celle-ci ! Ce n'est pas la plus grosse mais c'est la plus
brillante.
- Tu as bien
choisi. Adieu !
- Adieu
!
L'oiseau
saisit dans son bec la perle devenue trésor et
s'éloigne, léger, rapide, tandis que celui qui
pleure reprend de plus belle ses gémissements et sa
marche lente.
Plus loin,
l'oiseau se pose et contemple la larme précieuse. Il
se dit qu'il aimerait en avoir d'autres, oh, pas
énormément, juste quelques unes comme cadeaux,
pour d'autres voyageurs ailés.
Alors il
rebrousse chemin vers celui qu'il a laissé, "l'homme
qui pleure", et le voit de loin peiner, alourdi par ses deux
énormes poches emplies de perles. Bientôt, il
ne peut plus mettre un pied devant l'autre, il tombe
à genoux, se traîne encore et pourtant,
malgrétout, il continue à pleurer, à
pleurer et à recueillir ces " larmes perles " qu'il
met dans ses poches.
- " Mais
arrête de pleurer, ce sont tes larmes qui
t'empêchent d'avancer !
- Je ne peux
pas m'arrêter, je ne peux pas. " Et deux grosses
larmes tombent qu'il ramasse. " Pourtant je suis
épuisémais j'ai trop pris l'habitude… Je ne
peux pas m'arrêter, non…"
Soudain,
l'oiseau d'un coup de bec vif et acéré, fait
une petite entaille dans la poche de l'homme qui pleure,
puis dans l'autre poche "crac", une autre entaille. Il aide
l'homme à se relever, à marcher à
nouveau, debout . De son chant et de ses ailes, il
l'encourage.
Alors, des
poches trouées, une perle tombe, puis une autre; deux
filets de perles sur le sable brûlant dessinent un
chemin.
Au fur et
à mesure qu'il avance, l'homme est de plus en plus
léger.
Au fur et
à mesure que ses poches se vident, traçant une
route lumineuse, la source de ses larmes s'apaise et se
tarit.
Et quand ses
poches sont enfin vides, alors, ses yeux sont enfin secs,
son cśur à nouveau au bonheur et son pied si
léger, si léger qu'il s'envole avec
l'oiseau.
Parfois, dans
le grand désert, on peut voir un chemin de perles qui
ne mène nulle part et si on lève le regard, on
peut voir, auprès d'un oiseau, planer un homme… mais
peut-être est-ce une femme, ou un enfant, qui sait
?
Avec
l'autorisation de
Baby Copyright ©
2001
http://www.ifrance.com/mazoneamoi/baby/
Internet et la
vraie vie
Un chômeur postule
pour un poste d'homme de ménage chez Microsoft.
Le DRH, lui fait passer
un entretien, puis un test (balayer le sol), et lui
dit:
"Tu es engagé;
donne-moi ton e-mail et je t'enverrai le formulaire à
remplir,
ainsi que la date et
l'heure auxquelles tu devras te présenter pour
commencer ton travail."
*
L'homme,
désespéré, répond qu'il ne
possède pas d'ordinateur, et encore moins
d'e-mail.
Le DRH lui dit alors qu'il est désolé, mais
que s'il n'a pas d'e-mail,
cela signifie que virtuellement il n'existe pas, et,
comme il n'existe pas, il ne peut avoir le job
. L'homme sort,
désespéré, sans savoir que faire; avec
seulement 10 US$ en poche.
*
Alors il décide
d'aller au supermarché et d'acheter une caisse de 10
kilos de tomates.
Il fait donc du porte à porte pour vendre ses tomates
au kilo, et,
en moins de deux heures, réussit a doubler son
capital.
Il répète l'opération encore trois fois
et revient chez lui avec US$ 60.
Alors, il
réalise qu'il pourrait survivre de cette
manière,
il part de chez lui tous les jours plus tôt et revient
chez lui plus tard,
et ainsi triple ou quadruple son argent chaque jour.
Peu de temps après, il achète une charrette,
puis l'échange contre un camion
et peu de temps après se retrouve
avec une petite flotte de véhicules de livraison.
*
Passé 5 ans,
l'homme est propriétaire d'un des plus grand
distributeur alimentaire des Etats Unis.
Il pense alors au futur de sa famille, et décide de
prendre une assurance vie.
Il appelle un assureur,
choisit un plan d'assurance et ,quand la conversation
termine,
l'assureur lui demande son e-mail pour lui envoyer la
proposition.
L'homme dit alors qu'il n'a pas d'e-mail.
*
"Curieux, lui dit
l'assureur, vous n'avez pas d'e-mail
et vous êtes arrivé à construire cet
empire,
imaginez ce que vous seriez si vous aviez un e-mail!!."
L'homme
réfléchit et répond: - Je serais homme
de ménage chez Microsoft!!
*
* Morale de l'histoire
n°01: Internet ne solutionne pas ta vie
* Morale de l'histoire
n°02: Si tu n'as pas d'e-mail et que tu travailles
beaucoup, tu peux devenir
millionnaire.
* Morale de l'histoire
n°03: Si tu as reçu ce message par e-mail, tu es
plus proche d'être balayeur que
Millionnaire...
Bonne journée,
PS : Ne répondez
pas à cet émail, je suis partie vendre des ...
tomates.
***
Voici la PURE
VÉRITÉ
Les personnes de
plus de 40 ans devraient être mortes
(intéressant)
En se basant sur
les standards actuels, les sociologues croient que les
« baby boomers » qui étaient des enfants
pendant les années 1940 à 1960 ne devraient
plus être vivants...
Nos berceaux aux
couleurs vives étaient couverts de peinture à
base de plomb.
Rien ne nous
empêchait d'entrer une fourchette dans une prise
électrique.
Il n'y avait pas de
couvercles ou de bouchons de sécurité à
l'épreuve des enfants sur les bouteilles de
médicaments, portes et armoires.
Lorsque nous nous
promenions à bicyclette, nous ne portions jamais de
casques.
Nous faisions tous
de l'auto-stop.
Nous voyagions en
auto avec nos parents sans jamais porter de ceinture de
sécurité et l’auto n’était pas
équipée de sacs gonflables.
Prendre une "ride",
assis dans la boîte d'un pick-up pendant une chaude
journée d'été, c’était «
normal ».
Nous buvions de
l'eau directement du boyau d'arrosage du jardin et non d'une
bouteille. Horreur !!!
Nous mangions des
gâteaux, du vrai pain, du beurre et des boissons
gazeuses avec du vrai sucre, mais nous n'étions
jamais obèses parce que nous passions tout notre
temps à jouer dehors.
Nous partagions une
bouteille de Pepsi avec quatre de nos amis en buvant
directement de la bouteille et personne n'en est mort.
Nous passions des
heures à bâtir des « go-carts »
à partir de rebuts et ensuite nous descendions une
grande côte pour nous apercevoir, rendus en bas, que
nous avions oublié d’installer les freins.
Après avoir dérapé dans les buissons
une couple de fois, nous apprenions à résoudre
le problème.
Nous sortions de la
maison le matin et jouions toute la journée dehors en
autant que nous étions de retour avant que les
lampadaires s'allument. Personne ne pouvait nous rejoindre
de la journée. Pas de cellulaire ni de
télé-avertisseur... Impensable !
Nous ne
connaissions pas les Playstation, Nintendo 64, X-Boxes, ni
les jeux vidéo, il n’y avait pas 99 canaux sur le
câble, pas de vidéo, pas de
téléphone cellulaire, pas d'ordinateur ou de
"chat" internet.
Nous avions des
amis ! Nous allions dehors et ils étaient là !
Nous tombions des
arbres, nous nous blessions aux mains ou au visage, nous
nous brisions un os et ou quelques dents et pourtant,
personne n’était poursuivi pour tout ça.
C'étaient seulement des accidents. Personne
n'était à blâmer, sauf nous-même.
Vous vous souvenez des « simples accidents » ?
Nous nous battions
à coups de poing. Nous en récoltions des yeux
au beurre noir et nous apprenions à passer ensemble
au travers de nos disputes.
Nous inventions des
jeux avec des bâtons et des balles de tennis. Nous
mangions des vers de terre et des tartes "à la
bouette"…et malgré les avertissements, aucun śil
supplémentaire n’a « poussé » dans
notre visage … et les vers de terre ne sont pas
restés dans notre estomac pour toujours.
Nous allions chez
des amis sans d’abord leur téléphoner,
frappions à la porte, ou entrions simplement dans la
maison pour jouer avec eux.
En classe, quelques
élèves n'étaient pas aussi doués
que les autres … alors ils ne réussissaient pas leur
année et devaient la recommencer. Horreur !
Les
résultats des tests n'étaient jamais «
ajustés » … pour aucune raison.
Nos actions
étaient les nôtres et nous en connaissions les
conséquences.
Finalement, cette
génération a produit les plus grand «
preneurs de risque » de tous les temps. Les
dernières 50 années ont produit une explosion
d'inventions et de nouvelles idées. Nous avions la
liberté, les succès, les échecs, la
responsabilité et nous avons appris à vivre
avec tout ça.
Et vous êtes
un(e) de ceux (celles)-là … alors,
Félicitations !!!
Un envoi au courrier de
Y.D. ( nous préciser les sources s.v.p.!)
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