![]() Certains y cueillent à plein panier, Mains protégées, coeur habillé. Le corps seul est déshabillé! Décoche ses ardentes flèches Au bel enfant qui s'émerveille Devant la rose qui l'allèche. Comme une graine prend racine, De plante frêle devient arbuste. L'églantier devient une épine. Pour le croquer sur une presqu'île Puis couper l'isthme avec bonheur L'isoler dans son coin, tranquille. Se voulut épouser en lui, Devenir exclusive maîtresse, En laissant un amour détruit. Si l'on veut tout, On ne retient Qu'un "rien du tout" ! ![]() comme-çi, comme çà, un jour mal, un jour bien, cela n'y change rien. L'Amour est toujours là. malgré le temps des larmes, on reste sous le charme... Chacun son tour craque l'allumette, le coeur s'égratigne aux épines, et bien souvent une amourette se transforme vite en aubépine ! Mais c'est bien nous, un beau matin, qu'elles n'aiment plus. |
![]() ![]() c'est la rose l'important.... Il faut vivre son rêve. Même si nos amours ne sont pas sans peine, la déception même doit sa vie au merveilleux ! Si notre rêve s'est échappé, comme l'oiseau d'une cage dorée, c'est parfois pour se libérer... de Cupidon ! ![]() |
d'espérer dans le vague. Extrait de "l'Herbe rouge" ( Boris Vian )
Ainsi passe la vie...
![]() Chanson populaire ancienne
René Dauen et le Peter's Quartett de St-Pétersbourg. Contact: R.Dauen, 27 rue du gazon - 67200 Strasbourg Tous droits réservés. © *
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